1. |
Moonshape
02:55
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I wait, I wait
And still not a word
I stay, I stay
At the frontier of your world
I like I like
The moon shape of your eyes
I fall, I fall
I’ll be nowhere to be found
I run I run
You’re walking behind
I love I love
You like from time to time
And still I keep the faith
That you’ll find the missing word
And still I lose my brain
‘Cause you’re even more silent
How can I lay
How can I stay
I you are
Not here with me
I’ll keep, I’ll keep
All of my strength
And all of my laughter
All of my smiles
I’ll free, I’ll free
My chest from your weight
My shoulders from your hand
And there will be no piece
Of you here
Only my heart
Pure and kind
I wait, I wait
And still not a word
I like, I like
The moonshape of your eyes
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2. |
L'Éléphant
04:14
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J’ai la tête qui tourne
Tourne autour de toi
Les sentiments qui déboulent
Du bout de nos doigts
Et tu m’ouvres la porte
Sur tes insomnies
Songes troubles qui t’emportent
Au plus creux de la nuit
Et pourtant je m’acharne
À faire naître un sourire
Dans tes yeux qui s’échappent
Qui cherchent un répit
C’est comme un éléphant
Dans un placard
Nos pas de géant
Ne nous mènent nulle part
Et même en courant
Ça nous dévore
Est-ce que c’est gagner du temps
Que d’épuiser nos corps
Ça fera bientôt dix jours
Que tu t’enterres
La lumière frôle tes paupières
Mais tu t’entêtes
Et t’as fermé la porte
À mes sourires
Je cours je cours et je t’emporte
Au plus creux de mes nuits
Et encore je m’acharne
À faire naître un sourire
Dans tes yeux qui s’échappent
Qui cherchent un répit
C’est comme un éléphant
Dans un placard
Nos pas de géant
Ne nous mènent nulle part
Et même en courant
Ça nous dévore
Est-ce que c’est gagner du temps
Que d’épuiser nos corps
Le coeur
À vif à sang
À tous ceux que je croise
Donner
La lumière
De peur de trop en avoir
Je suis comme un éléphant
Dans un placard
Mes pas de géant
Ne nous mènent nulle part
Et même en courant
Ça nous dévore
Est-ce que c’est gagner du temps
Que d’épuiser nos corps
Je suis comme un éléphant
Dans un placard
Mes pas de géant
Ne me mènent nulle part
Et même en courant
Ça me dévore
Est-ce que c’est gagner du temps
Que d’épuiser nos corps
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3. |
Pamplemousse
02:58
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J’ai du pamplemousse plein les joues
Le sable colle à mes doigts
La lumière rose éclabousse
Chacun de mes pas
J’ai du sable du sel plein la bouche
De l’océan de ses bras
Dans la saison sèche qui se couche
Je reviens à toi
Tous les muchachos
De quelque endroit qu’ils soient au
Panama
Quelques soient leur meilleurs
moves de salsa
They ain’t got nothing on you
Nicolas
Il reste trois papayes trois matins
Après c’est l’avion
Le chemin vers la maison
Ne m’a jamais paru aussi long
Tous les muchachos
De quelque endroit qu’ils soient au
Panama
Quelques soient leurs meilleurs
moves de salsa
They ain’t got nothing on you
Nicolas
J’ai oublié ta peau de neige
Je l’apprendrai à nouveau
Parcourir chaque centimètre
Et écrire sur ton dos que
Tous les muchachos
De quelque endroit qu’ils soient au
Panama
Quelques soient leurs meilleurs
moves de salsa
They ain’t got nothing on you
Nicolas
J’ai oublié ta peau de neige
Je l’apprendrai à nouveau
Parcourir chaque centimètre
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4. |
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Je vois bien que tu grinces des temps
La peur a pris racine et s’étend
Je te comprends, elle m’habite aussi
S’agrippe à chacune de mes nuits
Résiste même au soleil
Mais je raccommoderai ton cœur d’enfant
Le ferai monter sur mon grand cerf-volant
On ira accrocher nos plus belles idées
Au sommet des grands arbres pour les faire briller
Pour quand il fera sombre
Le vent et toutes les marées
Les oiseaux qui n’savent plus où aller
Les sauts de trop froid à trop chaud
Et la peur qui sait très bien où ronger
On remplacera le gris des cheminées
Par l’écho de nos voix prêtes à tout casser
On secouera les grandes personnes
On leur dessinera la raison
Cette fois sans complet-veston
Le vent et toutes les marées
Les oiseaux qui n’savent plus où aller
Les sauts de trop froid à trop chaud
Et la peur qui sait très bien où ronger
Le vent et toutes les marées
Les oiseaux qui n’savent plus où aller
Les sauts de trop froid à trop chaud
Et la peur qui sait très bien où ronger
On s’entête à faire pâlir les étoiles
En répandant nos lumières et nos tours
Ahhh
Le vent et toutes les marées
Les oiseaux qui n’savent plus où aller
Les sauts de trop froid à trop chaud
Et la peur qui sait très bien où ronger
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Sandrine St-Laurent Montreal, Québec
Sandrine croque tendrement, malicieusement dans la réalité pour y faire de l'espace où déposer les mots. Dans un folk-alternatif solaire et délicat, elle déballe une fraîcheur qui dégourdit l'intérieur.
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